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Shellac|To All Trains

To All Trains

Shellac

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Les fans de Shellac savaient que Steve Albini, Bob Weston et Todd Trainer reviendraient, malgré l’absence d’annonce de dates de festival, de nouveaux morceaux ou d’un quelconque teaser. Une date de sortie. Voilà la seule chose révélée par le collectif illinois. Un vide promotionnel auquel les fans de longue date sont habitués. Ce rapport instinctif à la musique, ce non-calcul permanent, c’est peut-être ça aussi qui crée la magie et l’excitation à chaque sortie inopinée. Une authenticité insolite à l’heure où les groupes de rock d'expérience marquent leur retour d’une communication élaborée, accompagnés d’invités d’exception. Il semble que la mort récente d’Albini était le seul moyen de rompre le calendrier de sortie aléatoire de Shellac.

To All Trains s’ouvre sur un ostinato rythmique envoûtant : une répétition de guitares et une ligne de basse Weston happent l’auditeur dès les premières notes. Ces airs obstinants minimalistes à la Steve Reich vont se retrouver tout au long de l’album. Ces boucles, combinées au chaos apparent d’un rock noise, viennent servir un sarcasme et une diatribe explosive, comme sur Scabby the Rat, un rat gonflable personnifiant les entreprises qui n’emploient que des travailleurs non-syndiqués. Dans le même registre I Don’t Fear qui clôture l’album s’attaque aux classes dirigeantes et aux losers fauchés : "S'il y a un paradis, j'espère qu'ils s'amusent/ Parce que s'il y a un enfer, je vais connaître tout le monde”. Critiquant l’insignifiance d’un pouvoir vertical et verrouillé, To All Trains réunit une dernière fois le génie et la fougue de Steve Albini dans une furie brillamment orchestrée. À moins qu’à leur habitude, le reste du groupe ne décide de partager des outtakes inattendues… © Jeff Laughlin/Qobuz

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1
WSOD
00:02:24
2
Girl From Outside
00:02:45
3
Chick New Wave
00:02:22
4
Tattoos Explicit
00:03:08
5
Wednesday
00:03:17
6
Scrappers
00:02:20
7
Days Are Dogs Explicit
00:01:41
8
How I Wrote How I Wrote Elastic Man (cock & bull) Explicit
00:04:08
9
Scabby the Rat
00:01:46
10
I Don't Fear Hell
00:04:17

Chronique

Les fans de Shellac savaient que Steve Albini, Bob Weston et Todd Trainer reviendraient, malgré l’absence d’annonce de dates de festival, de nouveaux morceaux ou d’un quelconque teaser. Une date de sortie. Voilà la seule chose révélée par le collectif illinois. Un vide promotionnel auquel les fans de longue date sont habitués. Ce rapport instinctif à la musique, ce non-calcul permanent, c’est peut-être ça aussi qui crée la magie et l’excitation à chaque sortie inopinée. Une authenticité insolite à l’heure où les groupes de rock d'expérience marquent leur retour d’une communication élaborée, accompagnés d’invités d’exception. Il semble que la mort récente d’Albini était le seul moyen de rompre le calendrier de sortie aléatoire de Shellac.

To All Trains s’ouvre sur un ostinato rythmique envoûtant : une répétition de guitares et une ligne de basse Weston happent l’auditeur dès les premières notes. Ces airs obstinants minimalistes à la Steve Reich vont se retrouver tout au long de l’album. Ces boucles, combinées au chaos apparent d’un rock noise, viennent servir un sarcasme et une diatribe explosive, comme sur Scabby the Rat, un rat gonflable personnifiant les entreprises qui n’emploient que des travailleurs non-syndiqués. Dans le même registre I Don’t Fear qui clôture l’album s’attaque aux classes dirigeantes et aux losers fauchés : "S'il y a un paradis, j'espère qu'ils s'amusent/ Parce que s'il y a un enfer, je vais connaître tout le monde”. Critiquant l’insignifiance d’un pouvoir vertical et verrouillé, To All Trains réunit une dernière fois le génie et la fougue de Steve Albini dans une furie brillamment orchestrée. À moins qu’à leur habitude, le reste du groupe ne décide de partager des outtakes inattendues… © Jeff Laughlin/Qobuz

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